Lerésultat a été 1992 Le retour de Batman, qui a vu Batman de Michael Keaton se mesurer à Catwoman de Michelle Pfeiffer et Oswald Cobblepot de Danny DeVito, alias Le Pingouin – un petit méchant vivant dans les égouts avec les caractéristiques d'un vrai pingouin. Ce film s'est terminé par la disparition apparente de Penguin lors d'une confrontation décisive avec Batman. Alors
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Ce dernier, sous ses allures de gros dégénéré, va néanmoins parvenir à discréditer Batman en le faisant passer pour un meurtrier. Armé de ses seuls poings et gadgets, ou au volant de sa Batmobile, Batman devra lutter contre un gang décérébré issu d’un cirque et répondant aveuglément aux ordres du Pingouin… tout au long de sept niveaux de baston non-stop. BATMAN RETURNS est l’adaptation ultra musclée du film de Tim Burton, par Konami. Le jeu est sorti sur divers supports, dont bien évidemment les deux consoles stars du moment la Super Famicom et la Megadrive, les meilleures ennemies. Le jeu est bon sur les deux machines, mais radicalement différent, le grand prix du bourrinage revenant sans nul doute à la version Super Famicom, puisque les développeurs de Konami nous y ont réservé un beat’em all jouissif. La première chose qui frappe, dans BATMAN RETURNS, ce n’est pas notre héros ou les super vilains, mais bien la taille des sprites ils sont énormes ! On avait rarement vu un Batman aussi beau, sans parler de ses ennemis, empruntés au film et qui sont tout aussi réussis, notamment le Pingouin Danny DeVito aurait mérité la patte palmée d’or et bien évidemment la sexy Catwoman qui donne envie de bat-ifoler, immortalisée par une Michelle Pfeiffer qui trouva là l’une de ses interprétations les plus marquantes – souvenez-vous, à l’époque Sean Young avait sorti les griffes pour arracher le rôle, mais c’est bien Michelle Pfeiffer qui eut le privilège de miauler la dernière. Passé le choc visuel, vient celui des baffes Batman distribue en effet les mandales à tout va, et les coups s’enchaînent avec une facilité déconcertante. On peut bien évidemment frapper normalement réalisé plusieurs fois consécutivement le simple coup de poing se transforme en petit combo terminant sur un coup de pied retourné, sauter pour frapper en plein vol, bloquer, ou encore lancer un coup spécial avec la cape qui touchera immanquablement les ennemis proches de vous mais cette attaque fait perdre un peu d’énergie. Trois bat-gadgets sont également de la partie le bat-grappin usage vital dans certains niveaux pour éviter de chuter dans le vide, par exemple, le bat-test tube dispo en nombre limité et qui éliminera la plupart des ennemis à l’écran et enfin le plus utile, l’indispensable batarang il peut paralyser temporairement vos adversaires, faire exploser les motards…. Déjà avec tout ça, le joueur brutal devrait être content. Eh bien avec BATMAN RETURNS, le bat-bourrin n’est pas au bout de ses surprises, car le jeu a encore plus à offrir en matière de tatane les développeurs ont en effet centré le gameplay sur les prises au corps, et en vous approchant comme il faut d’un ennemi, vous pourrez vous en saisir. Plusieurs possibilités s’offrent alors à vous donner plusieurs coups de tête, écraser le pauvre bad guy par terre, ou l’envoyer voler sur un élément du décor quand c’est possible sympa car les décors se détruisent vraiment avec un bruit particulier pour chacun d’entre eux le banc, le panneau, la vitrine…. Notez qu’écraser un ennemi au sol procure un sentiment de supériorité tout simplement jouissif car Batman soulève les méchants d’une seule main même les clowns obèses pour ensuite les écrabouiller comme s’il s’agissait de vulgaires insectes. Accessoirement si d’autres vilains personnages se trouvent près de vous lorsque vous faites ça, ils prennent des dégâts. Et quand on parle de dégâts collectifs, comment passer sous silence la double prise ? Il faut saisir deux adversaires en même temps attention au timing et, avec un méchant dans chaque main, vous pouvez les écraser l’un contre l’autre Bat taille XXL ! Eh oui, dans BATMAN RETURNS, votre meilleure arme c’est l’adversaire que vous utiliserez contre ses petits frères ! En plus de ce gameplay simple et bien trouvé, BATMAN RETURNS propose des niveaux qui varient de la 3D à la 2D. Ceux en 3D sont les meilleurs et les plus nombreux, mais se déplacer sur des plates-formes en 2D apporte un peu de vent frais à l’aventure, en nous mettant ainsi aux prises avec les flammes dévoreuses d’un grand incendie, ou sur les toits desquels la chute est généralement mortelle le bat-grappin devient alors indispensable. Un niveau parmi les sept – c’est peu nous met également au volant de la Batmobile. Encore une fois cela amène un peu de variété à un beat’em all somme toute assez répétitif, mais ce passage est vraiment raté heureusement il est très court. La sensation de vitesse n’est pas mauvaise mais, en gros, on ne fait quasiment rien. Il faut éviter quelques motards super mal faits, tirer sur quelques ennemis et passer au travers de tirs adverses qui ne ressemblent à rien. La Batmobile se conduit trop facilement, et on n’est par conséquent jamais vraiment dans l’action molle, de toute façon. On est ici très loin des scènes en Batmobile du jeu BATMAN THE MOVIE, pourtant sorti plusieurs années plus tôt sur Amiga la voiture dérapait, sautait, on utilisait le grappin, etc.. Malgré quelques petits défauts, BATMAN RETURNS est une réussite absolue dans son genre, et la prise en mains est tellement simple et intuitive qu’on a souvent envie de se refaire une petite partie la redondance de l’action se révèle alors être un problème très relatif. La replay value est donc avant tout assurée par le gameplay fun et addictif, mais aussi par de nombreux niveaux de difficulté, pour les plus téméraires je précise d’ailleurs que les boss, Catwoman et le Pingouin en tête, sont de vraies teignes. En bref BATMAN RETURNS est un super jeu qui, à la manière de sa Batmobile qui ne dérape jamais, tient la route encore aujourd’hui. Note Nostalgie Des sprites énormes, de l’action non-stop basée sur les prises au corps original, des niveaux alternant 3D et 2D, des décors altérables, des boss ignobles et quelques bat-gadgets de derrière les fagots pour un jeu jouissif bien qu’un peu simpliste dans son level design à quelques exceptions près, comme le passage sur le train en marche. Certes BATMAN RETURNS n’est pas tout à fait au niveau des meilleurs titres du genre. Par exemple, on aurait bien évidemment aimé avoir davantage de chapitres et une option deux joueurs, mais on ne va pas faire les grincheux devant un tel spectacle merci Konami !
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Le tant attendu long métrage de Matt Reeves, adaptant les péripéties du fameux héros déguisé en chauve-souris, sort enfin. Et c’est le moment de savoir si le choix de Robert Pattinson se révèle judicieux ou non. Les adaptations cinématographiques de l’homme chauve-souris n’ont pas toujours été à la hauteur. Dirigé par Tim Burton, avec la musique du génialissime Danny Elfmann influencé par des compositeurs européens, Michael Keaton- dont le défaut était de ressembler à Julien Lepers-évoluait dans un monde évoquant un conte gothique. La force d’un Batman réside toujours au travers de l’interprétation des méchants. Coloré, bouffonnesque, et cynique, pour Jack Nicholson qui interprète un Joker qui épouse les codes festifs des années 80 libérales. Affreux, méchant, et miroir inassumé de la laideur de la haute-société de Gotham City, pour la prestation de Danny DeVito en Pingouin. Puis vint hélas Joel Schumacher le Grand Massacreur. Son Batman Forever avec Val Kilmer est une pale parodie avec les cabotinages conjoints de Tommy Lee Jones en Double-Face et de Jim Carrey qui- ô scandale- joue L’Homme-Mystère ou Riddler comme si il s’agissait du Joker qui se met à faire du Jim Carrey de l’époque se complaisant à faire des gags et des mimiques lourdingues. Le summum du ridicule viendra avec la suite intitulée Batman&Robin qui est l’un des plus gros massacre en terme de production cinématographique George Clooney qui sort une Bat-Credit card; Arnold Schwarzeneger de granit qui ponctue ses apparitions par des » Freeze » ou des répliques du style » Il va geler en enfer! »; Bane qui fait penser à un culturiste essayant d’effrayer des enfants dans une foire foraine; Uma Thurmann accoutrée en habituée des soirées échangistes éco-bobos. Le film fut tellement décrié que les producteurs hollywoodiens ne prenaient plus au sérieux tout projet autour de Batman. Vint Christopher Nolan qui donnera un nouveau souffle. La performance de Christian Bale, adepte du transformisme comme le sont Viggo Mortensen et Daniel Day-Lewis, est une dissonnance nette par rapport aux interprétations précédentes plus légères. Batman/ Bruce Wayne a une double personnalité et est traversé de doutes, de remords, et d’interrogations. La trilogie de Nolan réussit le tour de force d’introduire des thématiques sociétales dans ce qui aurait pu s’en tenir qu’à du divertissement. Dans Batman Begins, sorti quatre ans après les attentats du 11 Septembre 2001, Ras al-Ghûl et sa secte des Ombres évoquent implicitement les jihadistes aux ordres d’Oussama Ben Laden. Liam Neeson est sobre dans son rôle de faux-mentor fanatique. Dans les Batman de Tim Burton les scènes de combat s’autorisaient des fantaisies acrobatiques car dans les années 80-90 le Karaté, le Ninjutsu, et le Kung-Fu, étaient en vogue. Chez Nolan, elles sont voulues plus réalistes par le style de Close Combat prisé par Batman le Keysi Fighting Method. Toutefois le film a encore quelques petites imperfections et la musique wagnérienne d’Hans Zimmer est quelque peu pompière. Mais ce sera le second volet, The Dark Knight, qui mettra la chose au sommet de son art. Une perle rare. Non seulement un blockbuster qui ne prend pas son spectateur pour un consommateur abruti gobant du popcorn. Une tension permanente qui doit tout au Joker joué par Heath Ledger, qui est là une crevure intégrale sadique qui se plaît à semer le chaos et à détruire mentalement autrui. De la prestation musicale nerveuse d’Hans Zimmer se dégagera une atmosphère insoutenable. Why so serious? The Dark Knight est assurément le plus grand film de super-héros jamais réalisé et c’est paradoxal Batman n’a aucun pouvoir spécial. Emporté, brut mais avec des tonalités aériennes, et tragique. Sur fond d’évocation de la crise économique, et des théories du complot menant à la révolte, le troisième opus de la trilogie Nolan- The Dark Knight Rises- n’arrivera pas à la hauteur du précédent. La scène où Marion Cotillard meurt est révélatrice d’un état d’esprit baclé, alors que Nolan est connu pour être très pointilleux sur les détails, et peut-être d’avoir envie de passer à autre chose. Il faut aussi savoir que la mort d’Heath Ledger a chamboulé le scénario originel et que le choix de Tom Hardy en Bane intervient en roue de secours. TDKR est le moins bon de toute la trilogie. Vient le Batman interprété par Ben Afleck, qui par son mètre quatre-vingts-douze et sa carrure est celui qui est à même le plus à ressembler au Batman de la BD. Introduit dans le Snyderverse par l’entremise du Batman vs Superman, cette version est évidemment inspirée de celle du dessinateur Frank Miller connu pour son travail formidable sur Sin City et pour quelques déclarations au lance-flammes qui le situe à la droite de la droite dure étasunienne,et aussi de la version musculeuse qu’on incarne dans la franchise des jeux vidéos Batman Arkham. Le film est en soi bourrin, bien sombre avec une bonne qualité d’images, mais sans plus. Du Zack Snyder. Obligé de mettre sa carrière en pause après un drame familial, le film Justice League passe entre les mains de Joss Whedon. Whedon doit sa notoriété à la série déjantée mais très fifille Buffy contre les Vampires, et au premier volet de la franchise Avengers dont les répliques pour adolescents attardés gobeurs de pop-corn ternissent la qualité des effets spéciaux. Les producteurs ont profité de l’absence de Snyder pour modifier le film à leur sauce. Et Whedon n’aurait pas eu des relations faciles avec certains acteurs déjà que sa réputation le précédait. Le film sera décrié. Snyder finira par revenir et sortir un director cut qui sans tenir du génie a le mérite de réhabiliter le projet. Robert Pattinson Bon ou pas bon? Le Batman de Matt Reeves mise dans la subtilité et insiste sur une ambiance noire de polar qui joue avec les nerfs du spectateur à l’instar d’un thriller captivant, que le Seven de David Fincher joué par Brad Pitt et Morgan Freeman a porté au sommet de son art. Quantité de films, de séries, et de romans policiers US ont repris le principe pour la plupart dans des perspectives strictement consuméristes et commerciales, avec quelques petits relents d’idéologie sécuritaire pour certaines. La France, cette orgueilleuse, cherchera à faire de même mais rares sont vraiment les cas où on ne tombe pas sur des nanars franchouillards cas des productions TF1 ou des trucs légers France TV qui vont sur des bons sentiments. Le paradoxe est fort néanmoins avec la scène du Polar littéraire où, pardonnez du peu, tout est passé au scalpel ou à la scie. C’est oublier qu’à la base Batman est un héros de pulp et que son univers très sombre tire ses racines du Roman Gothique et du roman noir. Batman et ses adversaires, si l’on fait bien attention, symbolisent chacun une pathologie inscrite dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux qui sert de référence au champ psychiatrique. La question à deux millions de Dollars Robert Pattinson est-il bon pour incarner le Chevalier Noir? Sans hésiter, la réponse est oui. Embêté par quelques petites séquences, en prime celle où il est grimé en Robert Smith chanteur de The Cure, il se hisse en seconde position ex aequo dans les rangs des acteurs ayant interprété l’Homme Chauve-Souris, au même niveau que Michael Keaton mais loin encore devant les performances » transformistes » de Christian Bale. Les gadgets se conforment au réalisme de Reeves là où chez Burton, Schumacher, et Nolan, ils jouaient de beaucoup dans l’effet démonstratif. La musique de Michael Giacchino explore en profondeur l’angoisse, la frayeur, mais aussi le soulagement. Les scènes de baston, concédons-le, tiennent encore du réalisme introduit par Nolan. L’autre différence majeure est la présence de diversité au sein du casting, ce qui a dû faire râler bien des haters réacs auxquels il faudrait rappeler que Bob Kane et Bill Finger- créateurs de Batman- n’étaient pas WASP du tout et que aussi les dessinateurs, les artistes, expérimentent, modifient, ou s’adaptent au fil des époques. Parfois, sans partir d’un point de vue politique, on peut être aussi puriste en respectant l’esprit à partir duquel une œuvre a été crée. Mais rendons-nous bien compte qu’un pur Batman devrait être mis en scène dans un décor des années 30-40. Zoë Kravitz interpréte Selina Kyle Catwoman dans un registre autre que sa version sexualisée SM et mythique jouée par Michelle Pfeiffer, c’est-à-dire au travers d’une caractérisation qui inclut plus de sensibilité, de thématique intersectionnelle bisexualité, métissage et d’une quête de soi. La version de James Gordon jouée par Jeffrey Wright est dans la continuité de celle incarnée par Gary Oldman. Méconnaissables aussi sont John Turturro en Carmine Falcone et Colin Farrell en Pingouin. Note
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